Soutenons Tous le Microcrédit par la Générosité : une belle histoire de solidarité !

Vous souvenez-vous des élèves du lycée Notre Dame de Bury, à Margency ? Leur engagement avec le projet Ma classe solidaire est loin de s’arrêter !

 

Graffiti STMGIl y a trois ans que les élèves du lycée Notre Dame de Bury se mobilisent en organisant la traditionnelle vente de crêpes, pour soutenir les entrepreneurs de Babyloan . Toujours suivis par Aurélie Larcher, professeur en Economie  en classes de Première et Terminale STMG, ces élèves  s’engagent dans la planification et la gestion d’un projet solidaire en lien avec leur programme scolaire.

Depuis le début de l’année, les élèves mettent  en place une vente de crêpes le lundi pendant la récréation. De plus, ils préparent des gâteux et des boissons pour les réunions parents-professeurs, et pour tout type d’événements organisés par l’établissement tout au long de l’année scolaire.

La particularité de cette démarche réside dans la transmission des savoirs et savoir-faire  des élèves de la Terminale vers les élèves de Première et dans le même temps, de sensibiliser les nouveaux lycéens à s’engager dans cette démarche solidaire. Cette pratique a conduit à la création d’un cercle perpétuel d’accompagnement et de partage.

Durant ces dernières années, avec ces actions, les élèves ont financé 7 projets pour un total de 2.120 euros. Cette année, la classe a choisi deux entrepreneuses et grâce aux activités mises en place, ils ont collecté suffisamment d’argent pour financer les projets de Yuhanah et Lousemene.

Crêpes Solidaires et convivialité : la recette du bonheur !

 

Cette année, l’équipe pédagogique Ma classe solidaire, accompagnée d’un membre du Conseil d’Administration de notre association, a participé au rendez-vous hebdomadaire.

Lors de cet évènement, nous avons rencontré Matilda, étudiante en Première. Elle nous a laissé un petit témoignage de son expérience :

« C’était intéressant de voir les critères de choix des entrepreneurs à soutenir » dit Matilda, « Nous avons décidé de soutenir deux femmes avec des enfants et dans un âge propice pour développer leur propre activité » dit Matilda. «  C’était très intéressant, nous avons pu choisir qui aider. C’est vrai qu’on ne se rend pas compte que 150 euros, dans un pays comme le nôtre, c’est peu alors que dans certains pays, c’est un montant suffisant pour monter sa propre boite ! C’est choquant de voir la différence de la valeur de l’argent dans certains pays».

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